Vincent Thomasset, auteur, metteur en scène et chorégraphe, travaille autour du langage, qu’il soit chorégraphique, littéraire ou musical. Il entretient un rapport intime à la fiction et tente de circonscrire les conditions de son apparition. Ses pièces sont autant d’explorations des langages et codes du théâtre, que ce soit par le biais de ses propres textes (Sus à la Bibliothèque !, Les Protragronistes, Médail Décor, Galoooooop, Ensemble Ensemble) ou en travaillant sur des matériaux pré-existants (Arsenic et Vieilles Dentelles de Frank Capra pour Bodies in the Cellar, Lettres de non-motivation de Julien Prévieux). Son écriture foisonnante épuise les mots en déclinant tous leurs sens possibles, redonne au langage une littéralité qu’il aurait perdue et trouve dans le corps de ses interprètes un alter-ego idéal.
Après avoir débuté des études de lettres à Grenoble, il découvre le théâtre par accident, travaille dans un cinéma pendant six ans avant d’être interprète pour Pascal Rambert de 2003 à 2007. En 2007 il suit la formation E.xe.r.ce au CCN de Montpellier et commence à développer son travail. Dans un premier temps, il produit des performances avant de créer son premier spectacle en 2011. La compagnie Laars & Co, créée en 2012, est subventionnée par le Ministère de Culture et de la communication, soutenue par la DRAC Île-de-France au titre de l’aide à la compagnie chorégraphique.
Carrousel est un projet qui tente de mettre à jour les relations complexes qui peuvent se nouer entre les individus en observant comment les fonctions et rôles qui nous sont assignés – ou que nous choisissons d’assumer – peuvent entrer en conflit avec la construction de nos identités respectives. Nous travaillerons plus spécifiquement autour de la notion de libre-arbitre, des conditions nécessaires de son exercice, afin d’observer comment il est possible de se construire en tant que sujet.
Le terme carrousel évoque, pour la majeure partie des gens, les manèges de notre enfance, le rapport au temps, à l’innocence, au jeu. Mais il y a une autre acception, plus méconnue, qui consiste à la création d’un exercice de parade militaire, pratiqué par des cavaliers et leurs montures. Au sein d’un rectangle de dressage, divisés en quadrille, ils exécutent des évolutions variées, telles que des figures géométriques (voltes, demi- voltes, etc.), des exercices de dressage, des changements d’allure. Aujourd’hui pratiqué par le Cadre Noir
de Saumur, dépendant du ministère de la défense, il allie précision et rigueur militaire. Le carrousel renvoie également à la figure du manège qui, en danse classique, consiste à suivre un parcours circulaire autour de la scène en pratiquant des tours piqués, enchaînements de grands sauts et pas de liaisons (glissade, grand jeté). Nous observerons à quel endroit l’art équestre et la danse classique peuvent être mis en parallèle, tous deux s’inscrivant dans une tradition dite savante, dans un apprentissage, une rigueur, un rapport des corps entre eux dans un espace donné, comment ces deux disciplines confèrent à la notion de libre-arbitre le statut de garde-fou au sein d’un système où la contrainte devient norme.
Le Carrousel constitue la métaphore spatiale de l’ensemble des interrogations autour de la construction du sujet, c’est à dire de l’individu et de son rapport à l’autre. Sortir des codes, suivre sa voie, son chemin, sa trajectoire, vivre un parcours initiatique à l’image des héros légendaires et romanesques ou simplement obtenir un titre à l’issue d’un parcours professionnel ou universitaire : le sujet trace une ligne plus ou moins sinueuse en se réalisant. Ces enjeux se retrouvent, par analogie, dans ce « Carrousel » si particulier : tels des enfants jouant à des jeux d’adultes, les cinq interprètes essaieront de garder toujours intacte leur capacité à jouer avec les contraintes et leurs désirs les plus profonds.
Conception, texte : Vincent Thomasset
Interprétation : Julien Gallée-Ferré, Emmanuelle Lafon, Anne Steffens, et deux autres interprètes (en cours)
Lumière : Florian Leduc
Création sonore en cours
Conseillère artistique : Ilanit Illouz
Conseillère arts plastiques : Stéphanie Airaud
Conseillère linguistique : Viviane Point
Scénographie en collaboration : Florian Leduc et Ilanit Illouz
Costumes en collaboration avec Angèle Micaux
Régie générale : Vincent Loubière
Production Laars & Co
Coproduction (en cours) : La Passerelle scène nationale de Saint-Brieuc, Festival d’Automne à Paris, Pôle Culturel d’Alfortville, Manège Scène Nationale – Reims, Le Parvis Scène Nationale Tarbes-Pyrénées,
Département du Val-de-Marne dans le cadre de l’aide à la création
Vincent Thomasset est artiste en résidence au POC d’Alfortville en 2018-2019
L’association Laars & Co est soutenue par le ministère de la Culture et de la Communication
DRAC Île-de-France au titre de l’aide à la compagnie chorégraphique.
« Dans la lignée de ses précédentes créations, Vincent Thomasset creuse la question du double au filtre du langage. Parcours de vie, matériaux biographiques réels ou fictifs forment les contours de cette pièce sonore incarnée, spatialisée, où la subjectivité des interprètes se mêle aux fragments auxquels ils prêtent voix. Traversant des paysages vocaux et charnels, Ensemble Ensemble met en jeu la circulation du verbe comme une architecture mentale aux multiples dimensions. »
Gilles Almavi, programme du Musée de la Danse
Chorégraphie, mise en scène, écriture : Vincent Thomasset
Conseil artistique: Ilanit Illouz
Interprétation : Aïna Alegre, Lorenzo De Angelis, Julien Gallée-Ferré, Anne Steffens
Scénographie : en collaboration avec Vincent Gadras
Lumière : Pascal Laajili
Création sonore : Pierre Boscheron
Assistante mise en scène : Flore Simon
Production Laars & Co
Coproduction La Passerelle scène nationale de Saint-Brieuc, Festival d’Automne à Paris, Théâtre de la Bastille,
Musée de la Danse – Rennes, Le Vivat – scène conventionnée d’Armentières, La Ménagerie de Verre, Pôle Culturel d’Alfortville.
Vincent Thomasset est artiste associé à La Passerelle scène nationale de Saint-Brieuc dans le cadre de Surface Scénique Contemporaine.
L’association Laars & Co est soutenue par le ministère de la Culture et de la Communication DRAC Île-de-France au titre de l’aide à la compagnie chorégraphique.
Avec le soutien de l’ADAMI.
Avec le soutien du département du Val-de-Marne pour l’aide à la création.
Avec le soutien de La Chartreuse Villeneuve lez Avignon – centre national des écritures du spectacle, de l’Atelier de Paris – Centre de Développement Chorégraphique, du Centre Dramatique National Nanterre Amandiers
Après avoir adapté les Lettres de non-motivation pour la boîte noire du théâtre (public captif, rapport frontal),
Vincent Thomasset continue le travail autour du projet de Julien Prévieux en expérimentant des rapports aux publics différents, en proposant un dispositif qui permette d’aller à leur rencontre, d’offrir la possibilité aux spectateurs d’être au coeur du dispositif.
Ce dispositif est quadri-frontal, le public entoure la zone de jeu. Il peut également être disposé en cercle.
Quatre passages sont aménagés pour la circulation des interprètes. Au centre du dispositif, sont disposés un micro
sur pied ainsi qu’une sonnette d’hôtel. Les annonces et réponses correspondantes aux lettres interprétées sont
contenues dans un livret distribué au public. Les spectateurs sont amenés à tourner la page à chaque fois que les
acteurs appuient sur la sonnette. Un mot d’introduction est lu par une personne qui fait partie de l’équipe d’accueil
Conception, mise en scène : Vincent Thomasset
Texte : Julien Prévieux
Interprétation : David Arribe, Michèle Gurtner, François Lewyllie, Anne Steffens
Assistante à la mise en scène : Flore Simon
Production : Laars & Co
Coproduction version itinérante : La Passerelle, scène nationale de Saint-Brieuc, Ménagerie de Verre (Paris)
Le dispositif est simple, deux micros statiques sur pied. Les deux interprètes sont disposés de part
et d’autre de la scène, a n qu’ils puissent se voir. Deux versions du texte sont possible. La première dure 12 minutes, le texte peut être lu à 4 reprises durant une heure, ce qui permet d’investir des lieux dont la jauge est restreinte, le public peut aller et venir. La deuxième version dure 20 minutes.
Pièce créée le 2 avril 2016 au MacVal, puis le 16 juin 2016 aux Subsistances de Lyon
Texte : Vincent Thomasset
Distribution : Anne Steffens, Vincent Thomasset
Production : Laars & Co
Coproduction : MacVal – Musée d’Art Contemporain du Val-de-Marne, Les Subsistances – Laboratoire international de création artistique / Lyon
L’association Laars & Co est subventionnée par le ministère de la Culture et de la Communication soutenue DRAC Île-de-France au titre de l’aide à la compagnie chorégraphique.
« Spectacle en trois épisodes (SUS À LA BIBLIOTHÈQUE !, LES PROTRAGRONISTES et MÉDAIL DÉCOR), LA SUITE marque l’arrivée de Vincent Thomasset au théâtre. Conçues comme des objets autonomes les uns des autres, ces pièces sont cependant reliées par un courant plus profond, celui d’un processus de création surprenant et insaisissable, si bien que chaque nouvel épisode semble être le rescapé du précédent. Avec cet opus, Vincent Thomasset pose les bases de son langage théâtral, où texte, lumière, son et corps, sont autant de forces indépendantes qui prennent un malin plaisir à se contredire et à se surprendre. »
Marion Siéfert,
pour le Festival d’Automne à Paris
LA SUITE
Conception, texte : Vincent Thomasset
Créé le 7 mars 2015 au festival Artdanthé / Théâtre de Vanves – scène conventionnée pour la danse.
SUS À LA BIBLIOTHÈQUE !
Création le 24 mars 2011 au festival Artdanthé, Théâtre de Vanves – scène conventionnée pour la danse.
Interprétation : David Arribe, Lorenzo De Angelis, Grégory Guilbert, Vincent Thomasset, Marc-Antoine Vaugeois
Durée : 25 minutes.
LES PROTRAGRONISTES
Interprétation : Lorenzo De Angelis, Vincent Thomasset
Création le 6 mars 2012 au festival Artdanthé, Théâtre de Vanves – scène conventionnée pour la danse.
Durée : 30 minutes.
MÉDAIL DÉCOR
Création au far°festival des arts vivants – Nyon, Suisse le 13 août 2014.
Durée 55 minutes.
Interprétation : Lorenzo De Angelis, Vincent Thomasset
Création sonore : Pierre Boscheron
Musiques : Pierre Boscheron, Vincent Thomasset
Lumière : Annie Leuridan, adaptation d’après les créations d’Abigail Fowler
Scénographie en collaboration avec Ilanit Illouz
Production Laars & Co
Coproduction Théâtre de Vanves – Scène conventionnée pour la danse, avec le soutien à la création du
Festival actoral, Atelier de Paris-Carolyn Carlson / CDC
Avec le soutien de la DRAC Ile-de-France / Ministère de la Culture et de la Communication
Avec l’aide d’Arcadi Île-de-France
Avec le soutien du Théâtre de Vanves – scène conventionnée pour la danse, de La Ménagerie de Verre
dans le cadre des Studiolabs, du Théâtre de Gennevilliers – Centre Dramatique National de Création
Contemporaine, des Laboratoires d’Aubervilliers, du Centre Culturel Suisse – Paris, du CENTQUATREPARIS, du Centre Chorégraphique National Roubaix Nord-Pas de Calais, du far° festival des arts vivants
– Nyon, du Centre National de la Danse – Pantin, du Grand Studio dans le cadre des échanges avec Latitudes
Contemporaines.
Cette pièce repose sur un défi : s’emparer du projet d’un artiste plasticien pour le porter à la scène. Au-delà de la rencontre de deux univers artistiques, il s’agit de se confronter à un texte a priori inadaptable, de donner corps, littéralement, à une matière qui résiste.
Au départ des LETTRES DE NON-MOTIVATION, un protocole simple : Julien Prévieux, artiste plasticien, répond à des offres d’emploi par la négative. En jouant avec ce qui l’entoure, il met à jour les rapports de force, les mécanismes à l’œuvre entre celui qui cherche du travail et ceux qui en offrent. Chaque individu ayant été,
à un moment donné, confronté au processus de recherche d’emploi, le pouvoir cathartique de ces lettres opère immédiatement : le lecteur peut à la fois se projeter dans les différents personnages et postures qu’elles contiennent, mais également s’identifier à l’artiste en train d’écrire ces lettres de non-motivation.
Si les LETTRES DE NON MOTIVATION n’ont pas été écrites pour la scène, elles portent en elles, tout
ce qui fait théâtre. Cela tient à la fois à la nature du processus mis en place – déjouer les rapports de force inhérents au monde du travail en endossant différents rôles – à la diversité des écritures, à la multiplicité des langages, au foisonnement des personnages, aux infinies possibilités aussi bien en termes de mise en scène que d’interprétation.
Pièce créée le 8 septembre 2015 à la Bâtie, dans le cadre du festival de Genève.
Conception : Vincent Thomasset
Texte : Julien Prévieux
Interprétation : David Arribe, Johann Cuny, Michèle Gurtner, François Lewyllie, Anne Steffens
Assistante mise en scène : Brune Bleicher
Scénographie en collaboration avec Ilanit Illouz
Lumière : Annie Leuridan
Création sonore : Pierre Boscheron
Musiques : Pierre Boscheron , Vincent Thomasset
Costumes en collaboration avec Rachel Garcia
Régie générale : Vincent Loubière
Production : Laars & Co
Coproduction : le phénix scène nationale Valenciennes, Festival d’Automne à Paris, la Passerelle Scène Nationale de Saint-Brieuc, Théâtre de la Bastille – Paris, La Bâtie – Festival de Genève, Théâtre Garonne – scène européenne – Toulouse, Les Spectacles vivants – Centre Pompidou, Le GRAND SUD Lille, avec la participation artistique du Jeune Théâtre National.
Ce spectacle a été répété au Théâtre de la Bastille et a bénéficié de son soutien technique.
Avec le soutien d’Arcadi Île-de-France, de la DRAC Ile-de-France / Ministère de la Culture et de la Communication
Avec le soutien du CENTQUATRE-PARIS, du Centre Culturel Suisse-Paris.
La pièce s’organise autour de la notion de double et des différentes acceptions qui en découlent :
doublure, doublage, dédoublement. Ces thématiques traversent la pièce aussi bien par les figures qu’incarne
Lorenzo que par le contenu des textes.
L’écriture propose un retour vers les zones troublées de l’enfance, de l’adolescence, lorsque ce qui
nous entoure devient de plus en plus réel, de moins en moins fictionnel. Le choc produit par cette prise de
conscience génère des arcs de tension, plonge l’individu dans des sphères complexes. Chaque personne se
construit alors comme il peut, oscillant entre questionnements métaphysiques et comportements singuliers.
Ces thématiques sont apparues au cours du processus d’écriture qui intègre des motifs et procédés
récurrents :
– l’usage de temps différents au sein d’une même séquence
– l’emploi du passé simple : n’étant pas utilisé dans le langage parlé et de plus en plus rarement dans
le langage écrit, il renvoie au procédé d’écriture tout en nous replongeant dans nos premières années, lorsque
nous apprenions les tables de conjugaisons.
– la présence du «nous» convoquant à la fois la possibilité d’un groupe, l’appartenance à une
communauté, mais également l’évocation d’une personnalité troublée, dont la construction emprunterait
des cheminements difficiles.
Texte, mise en scène : Vincent Thomasset
Chorégraphie : en collaboration avec Lorenzo De Angelis
Interprétation : Lorenzo De Angelis, Vincent Thomasset
Son : Pierre Boscheron
Lumière : Annie Leuridan
Scénographie : d’après une idée originale d’Ilanit Illouz
_
Production : Laars & Co Production déléguée : Latitudes Prod.
Coproduction Théâtre de Vanves – Scène conventionnée pour la danse, Atelier de Paris-Carolyn Carlson / CDC.
Avec le soutien d’Arcadi Île-de-France, de la DRAC Ile-de-France / Ministère de la Culture et de la Communication.
Avec le soutien à la création du Festival actoral, du CENTQUATRE-PARIS, du Centre Chorégraphique National
Roubaix Nord-Pas de Calais, du far° festival des arts vivants Nyon, du Centre National de la Danse – Pantin, du
Grand Studio dans le cadre des échanges avec Latitudes Contemporaines, du Théâtre Garonne – scène européenne.
Ce spectacle bénéficie du soutien de la Charte de diffusion signée par l’Onda, Arcadi Île-de-France, l’Oara
Aquitaine, l’Odia Normandie, Réseau en scène – Languedoc-Roussillon et Spectacle Vivant en Bretagne.
Remerciements à José Alfarroba, David Arribe, Ilanit Illouz, Anne Lemoine, Yann Lheureux, Manuel Séveri,
à l’Ircam-Centre Pompidou et Robin Meier, réalisateur en informatique musicale, pour leur contribution
au développement des outils informatiques
Une pièce pour cinq interprètes, quinze personnages et trois voix, qui s’articule autour de la performance physique hors-norme de l’acteur Cary Grant dans Arsenic et Vieilles Dentelles de Frank Capra. Une partition physique, vocale et sonore complexe sous-tend ce travail. La dissociation des voix et des corps – doublage en direct des voix masculines – donne à voir un travail minutieux et exigent, nécessitant un engagement sans faille de la part des interprètes. En déconstruisant un monument de l’entertainment des années 40, BODIES IN THE CELLAR se joue des codes de la narration, de la représentation, et propose au spectateur la possibilité de se construire son propre film, tout en se laissant emporter par un flux ininterrompu de mouvements, de sons et gestes, de parcours et histoires entremêlés.
Création le 12 mars 2013 à la Ménagerie de Verre – Paris, dans le cadre du festival Etrange Cargo
Conception, texte : Vincent Thomasset
Interprètes : Jonathan Capdevielle, Lorenzo De Angelis, Michèle Gurtner, Grégory Guilbert, Vincent Thomasset.
Collaboration artistique : Ilanit Illouz
Son : Gérard D’élia
Lumière : Erik Houllier
Scénographie en collaboration avec Camille Muret-Lilti
Conseil costumes : Olivier Mulin, Angèle Micaux.
Production Laars & Co / Production déléguée : Latitudes Prod.
Coproduction La Ménagerie de Verre – Paris, Théâtre de Vanves – Scène conventionnée pour la danse, Festival Actoral, Far° Festival des Arts Vivants, Le phénix – scène nationale Valenciennes.
Avec l’aide à la production d’Arcadi.
Avec le soutien de la DRAC Ile-de-France / Ministère de la Culture et de la Communication.
Laars & Co bénéficie de l’aide à la diffusion d’Arcadi en Île-de-France pour les saisons 2013-2014, 2014-2015.
Soutiens La Ménagerie de Verre dans le cadre des Studiolabs, Les Laboratoires d’Aubervilliers,
Centre National de la Danse, résidence Pavillon Cascades/Vivarium Studio, Atelier de Paris / Carolyn Carlson,
avec l’aide de l’échangeur – CDC Picardie (dans le cadre de « Studio Libre »), Centre Culturel Suisse – Paris,
CENTQUATRE, Montévidéo Créations Contemporaines.